Après avoir un peu hésité sur le choix du sujet, nous avons choisi un domaine couvrant aussi bien la physique-chimie que les sciences de la vie et de la terre. Le chocolat, aliment très prisé par une majorité de la population mondiale, n'a pas démérité depuis sa découverte chez les Mayas. Après son importation en Europe et dans les diverses colonies au XVIè siècle, il n'a pas démérité et tient toujours autant la vedette dans notre alimentation. Ses procédures de fabrication, à partir de fèves de cacao, n'ont cessé d'évoluer et de se perfectionner avec l'arrivée de l'industrialisation puis de la mondialisation. Les nombreuses molécules de ce produit ont été analysées, ainsi que leurs effets sur le corps humain. C'est pour cela qu'il est utilisé, tant dans l'alimentation que pour ses vertus médicinales. Son succès est universel, des musées à son effigie sont construits, des recherches sont actuellement encore en cours sur ses bienfaits ou ses contre indications, des recettes sont sans cesse inventées pour le rendre plus attractif et plus gustatif. Sa dépendance peut-elle expliquer en partie la longévité de ce produit ?
Si le fait de consommer du chocolat et d'en éprouver le besoin est réel, alors nous pouvons conclure qu'il existe une dépendance à ce produit. Les différentes études ont en effet montré que notre cerveau réagit à certaines substances présentes dans le chocolat et peut, de ce fait créer un appel à la consommation et au plaisir.
Après avoir étudié sa composition, nous sommes en mesure de confirmer partiellement que le chocolat peut créer une dépendance, servir de « drogue douce » ainsi qu'agrémenter le quotidien.
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